"Admettre l'existence d'une civilisation antérieure serait nier l'avenir, proclamer que notre effort est vain et que tout progrès est aussi précaire et peu assuré qu'une bille d'écume à la surface des flots" Jules Verne
Le court métrage de Chris Marker "la Jetée" montre également cette idée de cycle dans la vie d'un homme.
Je m’intéresse également au rêve d'utopie qui animent les hommes (à travers la notion du jardin, expliqué dans les articles précédents). La majorité des régime totalitaires s'appuient sur une idéologie utopique, c'est pour cela que son fondateur, Thomas More, imaginait l'utopie dans un ailleurs non influencé par la société. L'utopie appliqué au états devient une dystopie comme montre les livres 1984 de Georges Orwell où Fahrenheit 451 de Ray Bradbury. C'est ce que l'ont peut voir dans l'histoire avec le communisme russe,ce qui s'est passé au Cambodge avec les Khmer rouge où la révolution culturelle chinoise.
La vie privée disparait, la liberté de penser de l'individu est détruite au profit de la communauté. L'individu disparait dans les masses. L'homme conscient de son humanité n'a alors que le choix de la fuite, sinon il se fait broyer par le système. Le film THX 1138 de George Lucas illustre ce phénomène de l'homme unidimensionnel.
En référence à notre héritage judéo-chrétien, la femme, dans ces histoires, tel Eve qui croque la pomme, est toujours l'élément déclencheur de la révolte.
C'est pourquoi, dans l'histoire que je vais raconter, le jardin utopique fondé par l'homme Dama va peu à peu grandir et se transformer en système ôtant tout libre arbitre aux individus, au profit du bien collectif. La femme Ava, sera l'élément d'une prise de conscience et deviendra l'élément déclencheur de la révolte faisant table rase du système.
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